M. Georges Barbey 

Les consultations psychologiques s'adressent à toute personne qui souhaite faire le point sur sa vie, mieux se comprendre, mieux se connaître, interroger ses façons de faire, ses schémas de pensée ou ses choix de vie. Le but étant de retrouver un équilibre et progresser dans la vie quotidienne.

Les motifs de consultation peuvent être très variés, allant des difficultés plus récentes aux blessures plus ancrées.

On retrouve fréquemment:

• l'anxiété, les stress, les crises d'angoisses
• le burn-out, l'épuisement physique ou psychique
• la dépression, la tristesse: séparation, deuil, manque de confiance en soi, etc.
• les phobies: par exemple la peur de parler en public ou de sortir dehors
• les troubles alimentaires: boulimie, anorexie, hyperphagie
• les difficultés à identifier des relations "toxiques", et à en sortir (situations de manipulation, emprise, abus, violences, etc.)
• se sentir mal sans savoir pourquoi, ou être coupé de ses émotions (ces deux points peuvent être liés au précédent)
• la dépendance affective (comme la difficulté à être seul par exemple)
• les traumatismes
• les dépendances, addictions
• les troubles psychosomatiques (par exemple problèmes de digestion)

Les consultations se font à partir de 18 ans.

Lors d'une première consultation, qui dure environ une heure, nous prenons le temps d'écouter et de comprendre les besoins spécifiques de chaque patient, et nous voyons s'il est nécessaire de reprogrammer d'autres rdv (si un patient n'est pas encore sûr, il peut se décider plus tard, et reprendre rdv de son côté sur OneDoc: je le re précise toujours en fin d'entretien, pour que rien ne soit imposé).

Les consultations de suivi, quant à elles, durent environ 50 minutes, et permettent de poursuivre un travail en profondeur.

Le prix est de 140 CHF.

Je me suis d'abord formé à l'approche psychodynamique (psychothérapie psychanalytique), parce que je trouvais que c'était l'une des approches qui permet d'aller le plus en profondeur dans l'analyse et la compréhension de soi-même.

Mais j'ai toujours été curieux d'apprendre des autres courants, et j'ai toujours pensé qu'une seule et même méthode ne peut pas convenir à tout le monde, que le psychologue doit savoir s'adapter à chaque cas particulier: par exemple, guider un peu plus les patients qui auraient inconsciemment tendance à éviter de parler des sujets plus importants, ou parler un peu plus avec ceux qui ont besoin de plus d'interactions pour se sentir à l'aise.

C'est dans cet optique également que j'ai commencé plus récemment à me former à différentes techniques d'hypnose.

Hypnose, méthode "Feel&Heal" :

"Grâce à la thérapie, j'ai l'impression d'avoir compris d'où vient mon problème, mais il est toujours là"

"Mon psy me dit qu'il faut encore creuser, mais je ne vois pas quoi dire de plus. La thérapie était utile au début, mais là j’ai l'impression de tourner en rond et de ne plus avancer".

Ce sont des phrases qu'on peut souvent entendre dans les conversations de tous les jours, et je les comprends. En effet, parfois, on peut avoir le sentiment d'atteindre un plafond de verre, qu’il devient difficile d'aller plus loin avec la même méthode: alors que parler était libérateur au début, et permettait de « prendre du recul », maintenant le patient a le sentiment que parler permet seulement de décrire les choses, mais sans les faire bouger. D'où le constat : "ok, j'ai tel problème, j'ai compris ceci/cela, mais qu'est-ce qu'on fait maintenant ?".

Cette question arrive beaucoup plus ou moins vite selon les individus: dès la première séance pour les patients pour qui la notion de travail sur soi ne parle pas du tout (alors que d’autres ont l’impression de continuer de progresser sur eux-mêmes pendant des années). 

Dans ces cas-là, d'autres méthodes complémentaires aux thérapies verbales peuvent être intéressantes, parce qu'elles permettront de travailler sur d'autres plans, par exemple en intégrant le corps d'une autre façon que dans une thérapie centrée sur la parole.

Pour ces raisons, je suis en train de me former à différentes techniques d'hypnose, ou proches de l'hypnose, et je peux pour l'instant déjà vous proposer la méthode Feel&Heal.

Qu'est-ce que la méthode Feel&Heal? J'utilise parfois le terme d'hypnose, que tout le monde connait et parce que cette technique s'en rapproche fortement, mais il est plus exact de dire qu'il s'agit d'un E.M.C: Etat Modifié de Conscience (le terme plus large d'E.M.C. regroupe la méditation, l'hypnose, la transe, la sophrologie et la relaxation en général, etc., ou encore, comme exemple plus extrême et involontaire, les expériences de mort imminente).

Pendant de cette technique, on part de l'observation des sensations corporelles, en demandant à l'inconscient de s'exprimer via le langage du corps et des sensations. Le début d'une séance ressemble donc un peu à de la méditation pleine conscience ou à de la sophrologie (mais sans que ce soit autant guidé), puis cela évolue progressivement vers un état modifié de conscience, proche de l'hypnose légère.

Lorsqu'un état d'hypnose un peu plus classique et profond survient avec cette technique, certains individus peuvent être somnolents, ou voir des images, un peu comme dans un rêve, mais ce n'est pas systématique et pas nécessaire pour que la technique fonctionne: l'important est juste de donner de l'attention aux sensations corporelles, qui en général sont en lien avec des émotions bloquées (par exemple une boule dans la gorge, un mal de dos ou une difficulté à respirer sont des sensations fréquemment ressenties et libérées en séance Feel&Heal).

Cette technique est généralement efficace aussi pour les individus résistants à l'hypnose classique, précisément parce qu'il n'est pas nécessaire d'être dans un état d'hypnose très profond, et parce que la concentration sur les sensations corporelles donne un sentiment de garder le contrôle.

Contrairement à de l'hypnose classique, il n'y a pas ce qu'on appelle les suggestions post hypnotiques (par exemple "quand vous vous réveillerez, vous serez dégouté par la cigarette"). C'est pourquoi cette méthode n'est pas la plus adaptée pour un objectif précis type "arrêter de fumer" (même si, parfois, en libérant une émotion qui amenait à fumer, on peut diminuer l'envie de fumer au passage).

Pour plus d'informations sur cette technique, vous pouvez me contacter, ou nous pourrons en discuter lors d'un premier entretien.

Une séance dure environ 1h15 et coûte 160 CHF.

Mon parcours:

Psychologue clinicien diplômé depuis 2013, j'exerce depuis un peu plus de 10 ans, au début principalement comme indépendant en région parisienne.

En parallèle de mes études de psychologie, j'ai obtenu un master en philosophie.

Les études de philosophie m'ont permis d'approfondir mes connaissance en psychologie, ou d'étudier ce qui gravite autour, comme par exemple:

• le stoïcisme, l'épicurisme et tous les courants de pensée qui ont précédé l'apparition de la psychologie moderne
• les textes des grandes religions, les mythologies antiques ou orientales, et plus globalement l'anthropologie
• l'étude des liens entre le corps et l'esprit, qui permet d'avoir une vision plus large des troubles psychosomatiques (comment les maux de la tête et ceux du corps sont liés ?)

Pendant que je terminais ce master de philosophie, j'ai commencé la pratique de psychologue par 2 ans et demi d'expérience en milieu pénitencier, dans deux prisons différentes (d'abord psychologue stagiaire à la Prison de la Santé à Paris, puis psychologue à la prison d'Amiens).

Par la suite, je me suis installé comme indépendant, fin 2015. J'ai reçu quelques auteurs de violences, dans le cadre de suivis socio judiciaires, qui venaient parce que j'avais eu une première expérience dans ce domaine. Mais, comme la plupart des psychologues indépendants, j'ai commencé à recevoir plutôt des victimes de violences, qui consultent généralement plus que les auteurs. Ces expériences m'ont donc amené à étudier les violences aussi bien du point de vue de la victime que de l'agresseur.

Mais, comme la plupart des violences ne sont généralement pas d'ordre physique mais psychiques, et parfois plus dures à déceler (lorsqu'il s'agit de manipulation par exemple), cette pratique comme indépendant m'a permis plus largement d'approfondir ma formation concernant les motifs de consultation les plus courants de la population générale, déjà mentionnés plus haut: anxiété, crises d'angoisse, phobies, dépression, problèmes de couples, de dépendance affective, problème de concentration, addictions, etc.

J'ai aussi été amené à me former "sur le tas" (pratique clinique, supervisions, lectures etc. ) à la prise en charge des burn-out, parce qu'en France c'est le motif le plus courant pour lequel les médecins généralistes m'adressaient des patients. Je n'ai donc pas une connaissance du monde du travail aussi poussée qu'un psychologue du travail ou un coach professionnel intervenant en entreprise, mais sur le versant individuel, j'ai appris à repérer plus vite les schémas qui reviennent dans la plupart des burn-out:

• recherche de reconnaissance, qui est sans fin si c'est face à un patron qui en demande toujours plus
• difficultés à dire non, ou difficultés à déléguer (par besoin de contrôle)
• difficultés à supporter les conflits, qui causent alors beaucoup plus de fatigue que le travail en lui-même
• conduites passives-agressives (par exemple reporter à plus tard, par opposition inconsciente ou parce qu'on ne sait pas dire non)
• fuite en avant inconsciente dans le travail, pour ne pas penser à ses problèmes (les individus qui font cela ont généralement aussi du mal à s'endormir dans le silence, sans la radio, il faut toujours une distraction pour ne pas penser).
• etc.

En parallèle de cette activité comme indépendant, j'ai été pendant 6 ans psychologue bénévole dans l'Association de Santé Mentale du 13ème arrondissement de Paris (ASM 13), ce qui m'a amené à travailler aussi avec une population plus large que le libéral (troubles de la personnalité, personnalités borderline ou psychotiques par exemple).

Attention: je n'ai pas encore l'autorisation de travail pour le titre de psychothérapeute (l'équivalence de diplôme Français est en cours). Mes prestations comme psychologue indépendant ne sont donc pour l'instant pas remboursées par l'assurance maladie (LaMal).

Pour plus de renseignements, n'hésitez pas à me contacter. Si je ne suis pas joignable (je coupe mon téléphone pendant les entretiens), vous pouvez me laisser un message vocal ou un sms avec votre nom, et je vous rappellerai.

Georges Barbey, psychologue à Lausanne dans le Canton de Vaud.